Une nouvelle émission Vu de ma Fenêtre, “en mode confiné” réunit quatre industriels de la menuiserie, qui ont accepté de débattre sur la reprise des activités :
Bruno Léger, directeur général du groupe Liebot et président du SNFA, François Guérin, directeur général du groupe Cetih et membre du conseil d’administration de l’UFME, Dominique Lamballe, PDG de l’entreprise FenêtréA et président de la section “Fenêtres et Portes” du SNFA et Bruno Cadudal, directeur général d’Atlantem Industrie et secrétaire général de l’UFME.

Les sujets débattus

- L’UFME et le SNFA se sont mobilisés ces dernières semaines pour mettre en place des conditions de sécurité adaptées qui leur permet d’envisager une reprise de leurs activités. Un guide des préconisations a été, en ce sens édité par l’OPPBTP et validé le 2 avril. Comment les deux syndicats ont-ils pu convaincre leurs adhérents respectifs d’opter pour une décision collégiale et collective ?

- Ce consensus obtenu, quand prévoient-ils de redémarrer l’activité de leurs différents sites de production ?

- Les industriels de la menuiserie et de la fermeture s’appuient sur le guide de préconisations de l’OPPBTP ainsi que sur celui édité par l’UIMM. Quels sont les principales préconisations que les entreprises vont mettre en place dans leurs usines respectives ?

- La reprise des activités du bâtiment a été, au départ relativement troublée par des polémiques, des propos ministériels, des réactions de syndicats professionnels assez vives. Aujourd’hui les esprits semblent plus apaisés sur le sujet. Comment les salariés ont-ils réagit et répondu à l’annonce de la reprise des activités ? Quelles sont leurs principales réticences et surtout leurs principales motivations ?

- Comment les clients ont-ils également réagi à l’annonce de la reprise des activités ?

- Quelle analyse personnelle font-ils de cette crise et comment pensent-ils que nos secteurs en sortiront ? Quels sont les atouts de la fenêtre et de la fermeture françaises pour retrouver la croissance ?
Sur le plan industriel et commercial, sont-ils de ceux qui pensent qu’il y aura un avant et un après crise sanitaire ? Qu’est-ce-qui pourrait, selon-eux, avoir changé dans cet après ?