Laurent Castaing, directeur général des Chantiers de l’Atlantique avec Michel Akoum, en visite sur le site de Machecoul

Embarquée avec Chantiers de l’Atlantique depuis de longues années, Novoferm France vient de renouveler, pour les cinq prochaines années, son partenariat qui la lie au chantier naval de Saint-Nazaire. Ce nouveau contrat signé avec la Direction des Chantiers de l’Atlantique représente un chiffre d’affaires potentiel de 25 millions d’euros pour Novoferm. Dans cette dynamique, l’entreprise va poursuivre ses investissements sur l’année 2021 pour gagner en efficacité et améliorer la sécurité et les conditions de travail de ses salariés.

Au cours des dernières années, les équipes de Novoferm ont réalisé tous les grands investissements nécessaires afin de pouvoir doubler leur capacité de production

Signé courant février, ce nouveau contrat de cinq ans (2021-2025) vient renforcer la relation de confiance entre Novoferm France et Chantiers de l’Atlantique qui l’avait déjà récompensée, en 2016, du statut de “fournisseur préféré”. Une relation de partenaires qui s’est forgée au fil des 20 dernières années à travers, notamment, l’activité tôlerie et la production des lames de plafond pour les navires. Au cours des dernières années, les équipes de Novoferm ont réalisé tous les grands investissements nécessaires afin de pouvoir doubler leur capacité de production et répondre aux attentes des Chantiers de l’Atlantique.
En effet, l’entreprise a investi dans la modernisation et la réimplantation industrielle de l’outil naval, avec entre autres, l’implantation d’une nouvelle ligne de profilage. Novoferm a également développé une logistique locale spécialement dédiée à l’activité des Chantiers de l’Atlantique, afin d’optimiser ses livraisons. Pour poursuivre cette prestation de qualité et améliorer en continu
la compétitivité, des investissements dans la formation du personnel seront également réalisés.

Michel Akoum (3e en partant de la gauche), président de Novoferm France, avec la direction des Chantiers de l’Atlantique lors de la signature du nouveau contrat

Avec un carnet de commandes plus important que lors du premier contrat (2016-2020), cette continuité entre les deux acteurs va s’étendre au-delà des lames de plafond avec un élargissement des produits en tôlerie pour répondre aux besoins du chantier naval.
Ainsi, pour Novoferm, cela représente un volume supplémentaire de 30 à 40 % pour ses pièces en tôlerie. En ce sens, deux ateliers pourront dorénavant se consacrer à l’activité des Chantiers de l’Atlantique : l’atelier naval et l’atelier tôlerie traditionnelle.
« Aujourd’hui, nous avons la capacité pour accompagner Chantiers de l’Atlantique sur les cinq-six prochaines années et répondre à leur haut niveau d’exigence. La confiance qui règne entre les deux entreprises fait que cette histoire continue. Et nous sommes mobilisés pour faire vivre à notre partenaire une prestation dynamique, plaisante et incitative. C’est le savoir-faire de Novoferm et des salariés », explique Michel Akoum, Président de Novoferm France.

Maintien en 2021 du niveau d’investissement équivalent aux années passées, soit environ 2,5 millions d’euros

Dans cette période de crise sanitaire et économique, Michel Akoum porte deux grandes priorités indissociables pour Novoferm : protéger la santé des salariés, conformément au plan Covid mis en place, et protéger la santé de l’entreprise en sécurisant le business et l’emploi.
En parallèle, Novoferm va maintenir sur 2021 un niveau d’investissement équivalent aux années passées, soit environ 2,5 millions d’euros. Cet investissement visera à augmenter la capacité de production du groupe et à améliorer la sécurité et les conditions de travail. Il servira aussi les projets digitaux de l’entreprise avec l’objectif de renforcer la relation client.
« Chez Novoferm, nous sommes puristes et futuristes. Nous avançons toujours dans la pure tradition de l’entreprise dont les fondamentaux reposent sur des produits et une prestation de qualité pour nos clients. Et futuristes car il faut penser la transformation de l’entreprise autour de trois axes : le digital, pour mieux lier le client à l’entreprise, l’analyse de la data avec l’essor du e-commerce et enfin l’apprentissage des salariés. L’industriel doit savoir se challenger pour perdurer », conclut Michel Akoum.